« Si vous avez acheté un billet pour une date en août, il est automatiquement reporté à septembre » – les organisateurs. (précédemment prévu pour le 22 août 2025 – report).
À Haïfa, le 19 septembre 2025, sur le toit de l’hôtel Diana, les Ukrainiens, les Israéliens et tous les amis de l’Ukraine se réuniront pour une fête «Jour de Dépendance» — une célébration qui unit et soutient en cette année de guerre la plus difficile.
«Jour de Dépendance» à Haïfa : fête sous le drapeau de l’indépendance
Le toit de l’hôtel Diana à Haïfa, le 19 septembre de cette année, se transforme en un lieu où le mot «unité» prend un sens particulier. Pas juste une autre rencontre, mais un véritable événement — la fête «Jour de Dépendance» est organisée précisément pour la Journée de l’Indépendance de l’Ukraine le 24 août. C’est plus important qu’il n’y paraît : pour les personnes qui se retrouvent loin de leurs villes natales et de leurs familles, ces jours deviennent une ancre, un rappel — la lutte continue, et personne n’est oublié.
En 2025, lorsque les explosions retentissent chez eux et que les nouvelles viennent du front, la fête prend une autre couleur. Les Ukrainiens d’Israël ont décidé de ne pas se taire, mais de célébrer la Journée de l’indépendance (ou plus tard … – éd.) avec de la musique, des rires, et une action symbolique de soutien — car même un simple geste «nous sommes ensemble» peut donner de la force, quand il semble que le monde entier est fatigué d’entendre parler de la guerre.
Comment l’événement est né et ce qui le sous-tend
L’organisateur est l’équipe Vechornytsi il — déjà connue parmi la diaspora ukrainienne en Israël. Ici, on fait confiance à l’atmosphère : quand on croise le regard d’une personne qui manque aussi sa langue maternelle, les sourires en disent plus que n’importe quel slogan.
Le lieu n’a pas été choisi par hasard : l’Hôtel Diana au centre de Haïfa est devenu un point d’attraction — on s’y réunit pour souffler, discuter des nouvelles, ne pas hésiter à parler de ce qui est sur le cœur.
NAnovosti — Nouvelles d’Israël ont déjà écrit à plusieurs reprises sur la façon dont les traditions ukrainiennes s’entrelacent dans le tissu de la vie israélienne. Non seulement à Tel-Aviv, mais aussi à Haïfa, Beer-Sheva, Ashdod, de nouvelles initiatives apparaissent : cours de langue, cercles pour enfants, concerts. Mais la Journée de l’Indépendance n’est pas juste une autre occasion : c’est un défi, un rappel que la véritable liberté, comme le soutien, est mise à l’épreuve précisément en ces années.

Ce qui attend les invités : programme et ambiance
La fête — n’est pas une «affiche» copiée, mais une nuit vivante, riche en détails. Tout commence par un cocktail à l’entrée : des visages souriants que l’on n’a pas vus depuis des années, des rires d’enfants, les premiers câlins. Le programme est conçu pour que chacun puisse y trouver quelque chose pour lui :
- Bataille intellectuelle «Qui est au-dessus» — une bataille informelle des «bleus» contre les «jaunes», où les blagues côtoient un véritable test d’érudition.
- Karaoké — ici, on chante non pas pour être noté, mais pour l’ambiance. Chansons ukrainiennes préférées, parfois mélangées à des tubes israéliens.
- Danses jusqu’au matin — avec un DJ qui ressent parfaitement le public : et «Okean Elzy», et Zivert, et même quelques motifs klezmer.
- Concours avec prix — classique : qui danse le mieux le hopak, qui connaît le plus d’anecdotes, dont la serviette brodée est la plus éclatante.
- Zone pour enfants — cette année, elle est sous surveillance particulière, car les familles viennent au complet. Animateurs avec des jeux, jouets de table, activités pour les plus petits.
L’animatrice — @kate.sench, une personne avec un sens infaillible du rythme de la fête. Tout le monde la connaît, ceux qui ont déjà assisté à des soirées ukrainiennes en Israël : elle trouve toujours comment unir le public, traduit facilement de l’ukrainien à l’hébreu et vice versa, sait faire rire et soutenir.
Billets, conditions, et pourquoi venir en famille
L’entrée est payante, mais le prix est symbolique — pour que chacun puisse se permettre de faire partie de cette histoire.
- Enfants jusqu’à 9 ans — gratuit, car la fête est pour l’avenir.
- Pour les invités de la soirée, une réduction sur les chambres à l’hôtel Diana — au cas où quelqu’un déciderait de rester jusqu’au matin et de voir le lever du soleil sur la mer entouré d’amis.
- Inscription préalable — via un formulaire Google, billets en ligne (liens disponibles sur l’affiche).
Les organisateurs demandent de réserver à l’avance pour prendre en compte le nombre d’invités et assurer le confort de chaque famille.
Pourquoi tout cela, alors qu’il y a la guerre ?
L’Ukraine vit en état de mobilisation depuis le 24 février 2022. Au cours de ces années, selon l’ONU, plus de 8 millions de personnes ont quitté le pays. Rien qu’en Israël, selon diverses estimations, des dizaines de milliers de nouveaux Ukrainiens sont arrivés depuis le début de la guerre, sans compter ceux qui ont déménagé plus tôt. Beaucoup ont trouvé du travail ici, éduquent leurs enfants dans des écoles israéliennes, commencent des affaires, mais la douleur de la guerre n’a pas disparu.
«Jour de Dépendance» (report du 22 août) — n’est pas juste une fête. C’est un acte de soutien et une démonstration : même si la frontière est loin, le cœur souffre pour le pays natal.
Ce jour-là, des mots de gratitude sont adressés non seulement aux soldats et aux volontaires en Ukraine, mais aussi aux amis israéliens qui ont soutenu, quand il n’y avait nulle part où aller, ont offert un abri, aidé avec les documents, invité au shabbat. Dans la salle, il n’y a pas d’étrangers.
Comment la fête devient un point d’appui pour toute la diaspora
Le soutien mutuel — n’est pas un mot vide. Ici, se rencontrent entrepreneurs et enseignants, rapatriés et étudiants, enfants de la guerre et leurs parents. À une même table : histoires de Dnipro, Kharkiv, Lviv, Kremenchuk, Odessa et Boutcha.
On entend des discours ukrainiens et israéliens mélangés. C’est cela la véritable unité, dont parlent les politiciens, mais qui ne naît que d’en bas — de l’expérience personnelle.
NAnovosti — Nouvelles d’Israël suivront cet événement et d’autres. Car de telles soirées sont le meilleur moyen de préserver son identité, de s’informer, de partager des expériences et simplement de se détendre un peu après une année difficile.
Accent final : unité par la joie
La fête «Jour de Dépendance» — est une rencontre pour tous ceux qui veulent se souvenir de leur pays natal, se soutenir mutuellement et offrir une fête à eux-mêmes et à leurs proches. Dans un monde où il manque tant de certitude et de nouvelles de paix, de telles soirées deviennent un point d’appui.
Lisez et suivez toutes les nouvelles de la vie ukrainienne et juive en Israël sur le site NAnovosti — Nouvelles d’Israël. Vous y trouverez toujours des affiches fraîches, des annonces, des reportages et des histoires réelles de personnes.
Informations pratiques pour les invités
- Date : 19 septembre 2025
- Heure : à partir de 18h00 et jusqu’au dernier invité
- Lieu : Hôtel Diana, Haïfa, haBankim, 5
- Inscription : via le formulaire (lien sur l’affiche)
- Entrée : billets en ligne, enfants jusqu’à 9 ans — gratuit
- Réduction sur l’hébergement uniquement pour les invités de la fête
- Salle pour enfants : sur réservation
Événement des organisateurs – https://www.facebook.com/events/1472111707264814/
