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Le plan de paix, publié par la Maison Blanche le 29 septembre 2025, a reçu le soutien de plusieurs pays arabes et européens. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a exprimé son approbation de la proposition lors d’une rencontre avec le président américain Donald Trump.

Réaction des leaders arabes

Dans une déclaration conjointe, les dirigeants de l’Arabie Saoudite, de la Jordanie, des Émirats Arabes Unis, du Qatar, de l’Indonésie, de la Turquie, du Pakistan et de l’Égypte soulignent par exemple la nécessité de créer un État palestinien. Bien que le plan de Trump considère cela seulement comme un objectif lointain, ils déclarent être prêts à contribuer au processus de paix.

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Le soutien a également été exprimé par les dirigeants de la France et du Royaume-Uni, qui la semaine dernière, malgré la position des États-Unis, ont reconnu l’État palestinien. L’Espagne, connue pour sa critique de la politique israélienne, a également soutenu la nouvelle proposition.

Perspectives du plan

L’avenir du plan de paix dépend maintenant de la décision du groupe « HAMAS », qui contrôle une partie de la bande de Gaza et détient environ des otages. L’organisation a confirmé avoir reçu le plan et prévoit de le discuter. Il est proposé que le « HAMAS » accepte un échange de pouvoir à Gaza et un désarmement, les participants déposant les armes ne seront pas poursuivis.

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Déclaration de Netanyahou

Dans ce contexte, Netanyahou a ordonné la mise en œuvre réussie du plan de Trump, avertissant qu’en cas de refus du « HAMAS », Israël « achèvera lui-même la tâche » et détruira le groupe. Trump a promis que les États-Unis soutiendraient Israël dans ce cas.

Contenu du plan de paix

Le plan de Trump contient 20 points, parmi lesquels la nécessité d’un cessez-le-feu et d’un échange d’otages est mentionnée. Il prévoit le retrait progressif des forces israéliennes de Gaza, le désarmement du « HAMAS », ainsi que la création d’un cabinet technocratique temporaire avec la participation de Palestiniens et d’experts internationaux. Le groupe ne sera pas autorisé à participer à la vie politique. Ceux qui souhaitent quitter Gaza auront ce droit. Le déplacement des habitants de Gaza dans le cadre de l’accord n’est pas prévu.

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Objectifs de l’opération israélienne

Les autorités israéliennes notent que l’une des principales tâches de l’opération militaire reste la libération des otages capturés lors de l’attaque. À l’heure actuelle, 50 personnes restent en captivité, parmi elles un soldat tué en 2014. Selon les informations préparées, il est rapporté que 20 d’entre eux sont vivants.

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