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Des sources américaines et ukrainiennes confirment : à l’ordre du jour des négociations, il y a une option selon laquelle l’Ukraine pourrait rejoindre l’Union européenne dès 2027. C’est ce qu’écrit David Ignatius dans The Washington Post, en se basant sur des informations de Washington et de Kiev. Il y a peu de détails, mais la simple structure de la discussion change radicalement le contexte de la politique européenne.

En même temps, des discussions ont lieu sur la manière dont les États de l’UE percevront un tel rythme, où certaines capitales continuent d’exprimer des doutes. En particulier la Hongrie : sa position est la question principale pour le futur paquet. L’administration américaine estime que les objections pourront être surmontées, bien que les mécanismes d’influence ne soient pas révélés. À Kiev, cela est lié à l’expansion du commerce, des flux d’investissement et, ce qui est extrêmement important, à la pression sur les réformes internes.

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Un autre bloc concerne les paramètres de sécurité possibles. Le projet discute de la création d’une zone démilitarisée le long de la ligne de cessez-le-feu. La longueur s’étend de la région de Donetsk vers le bas jusqu’à Kherson et une partie de Zaporijia. La ligne sera à deux niveaux : le premier sans armes lourdes, le second avec des restrictions particulières et un contrôle international. Les sources comparent cela au modèle coréen, soulignant que la structure de surveillance sera « stricte, sans options ».

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Un autre point qui suscite des débats est l’avenir de la centrale nucléaire de Zaporijia. La publication indique que dans l’une des versions, une gestion temporaire de la centrale par les États-Unis a été discutée. Dans le milieu des experts, on tente d’interpréter cela : de la sécurité de l’installation à un signal politique à Moscou. Quoi qu’il en soit, l’idée a déjà été intégrée dans les discussions internationales.

La première version du plan, présentée le 20 novembre, était bien plus directe. Il y était dit que l’Ukraine inscrivait dans sa Constitution le refus d’adhérer à l’OTAN, et que l’alliance, en retour, s’engageait à ne pas examiner la candidature ukrainienne. En même temps, la voie vers l’Union européenne s’ouvrait officiellement. Pour la centrale nucléaire de Zaporijia, une autre option était mentionnée : la mise en service sous la gestion de l’AIEA et le partage de l’électricité entre l’Ukraine et la Russie à parts égales.

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Actuellement, le document évolue, s’enrichit de nuances, les formulations tranchantes disparaissent et de nouvelles, plus politiques, apparaissent. Le processus de paix est formé simultanément par plusieurs parties, et chacune tire dans sa direction. Mais la direction générale est déjà visible : l’Europe, la sécurité, le contrôle des infrastructures critiques. Pour le public ukrainien, c’est un signal important, et nous continuerons à suivre comment le projet sera ajusté, y compris par le biais des canaux bilatéraux entre Washington et Kiev. Dans le tableau final, de nombreuses décisions influenceront également Israël : de l’architecture de sécurité dans la région aux scénarios énergétiques possibles. Nous écrivons régulièrement à ce sujet dans НАновости — Nouvelles d’Israël | Nikk.Agency.

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